aidez moi svp

bonjour, je suis en etudiant qui doit faire l'erasmus en octobre. je devrais suivre les courses de droit international et de administratif 1. ils sont le jeudi a la meme horaire e je ne peux pas suivre tous le deux. vous savez quel est le critere de divisione de administratif group A et group B?
et dans le cas dont je suis dan le cours A on peux passe au cour B?

aidè moi svp!!!

merci..

Et bien.... mail au prof ? Téléphoné au secrétariat ? N'etant pas en droit je n'en sais pas plus.

erasmus droit a écrit:bonjour, je suis en etudiant qui doit faire l'erasmus en octobre. je devrais suivre les courses de droit international et de administratif 1. ils sont le jeudi a la meme horaire e je ne peux pas suivre tous le deux. vous savez quel est le critere de divisione de administratif group A et group B?
et dans le cas dont je suis dan le cours A on peux passe au cour B?

aidè moi svp!!!

merci..

Vous m’avez contacté par Message privé, je vous répondrais ici, car cela peut servir à d’autre.
Je n’ai jamais fait de licence de Droit. Je suis diplômé de Science Politique.
Mais en France l’on peut toujours s’arranger, vous pouvez en expliquant à la directrice de la formation Licence Droit, votre problème et elle le solutionnera sans conteste. Il est évident qu’un étudiant ne peut pas suivre deux cours en même temps. Voir même aux secrétaires.
Donc vous n’avez pas de panique à avoir.

Les groupes à l’ordinaire en France sont faits en fonction de l’alphabet, les 13 premières lettres ensemble et ainsi de suite, mais rien, aucune loi n’interdit de changer de groupe.

En début d’année, vous avez un tutorat organisé avec des étudiants en Master 2 de Droit ou en Doctorat. Ils tiennent une permanence juste devant le secrétariat de droit.

Voilà le site Internet du département:
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Sinon le planning des cours, c’est ici:
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Vous choisissez votre semestre puis votre diplôme ou le niveau, pour licence il y a 3 niveaux, 1ère année, 2ème année, 3ème année.

Vous avez un portail universitaire des étudiants en Droit, il permet de contacter les enseignants par courriel (@).
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Mais là, il faut déjà être inscrit à l’université, N° étudiant et Code.

Pour contacter le Secrétariat des Licences de Droit, si vous appuyez sur le nom, vous pourrez leur envoyer un Courriel (@):
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Si vous êtes en Master:
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

Si vous êtes en Criminologie:
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]


Mais n’ayez aucune panique, en France et surtout à l’Université de Vincennes – Saint Denis, Paris 8, il y a toujours une négociation possible, il suffit de savoir parler et de défendre sa cause. 2 cours en même temps est une cause légitime à défendre.

Mais les groupes n'ont pas été définis par l'alphabet pour nous... En fait, ça s'est joué en fonction des choix de chacun. Je ne comprends pas... =s

gwen tu as lu????

Gwen, voyons c'est le droit, un pays où les gens mangent les enfants, où les eleves sont soumis au prof vu comme des dieux sans failles.

Gwendoline a écrit:Mais les groupes n'ont pas été définis par l'alphabet pour nous... En fait, ça s'est joué en fonction des choix de chacun. Je ne comprends pas... =s

Vous êtes en Science Politique, alors que là, il s’agit de Droit. Je ne sais pas si en Licence 1ère année et 2ème, les étudiants ont une option, il me semble qu’ils choisissent une option en 3ème année. La première année, si, j’ai bien compris il leur est donné un socle commun.

Mais avant la Réforme Européenne, ce n’était pas comme cela, il y avait un DEUG en 2 ans: droit et, c’est là que l’on prenait une option entre autres Science politique. Science Politique commençait qu’à la Licence qui aujourd’hui correspond à la Licence 3. Au jourd’hui Science Politique commence en Licence 1.

Je peux vous dire qu’à l’époque en Licence de Science Politique, donc Licence 3 d’aujourd’hui, il n’avait pas grand monde, puisque les étudiants qui faisaient droit, rare étaient ceux qui prenez Science Politique en Option DEUG de droit.

Donc le département de Science Politique racolait ouvertement en DEUG de Science de l’Éducation (Psychologie éducative), 50% des étudiants de la Licence de l’époque venaient de Science de l’Éducation et j’en faisais parti.

Toni a écrit:Gwen, voyons c'est le droit, un pays où les gens mangent les enfants, où les eleves sont soumis au prof vu comme des dieux sans failles.

Je suis entièrement d’accord avec vous, les enseignants me font penser à des Mormons, eux pas la Bible à la main, mais la jurisprudence comme vérité révélée et les étudiant des bénis oui oui.

Ils répètent souvent benoîtement sans grande réflexion derrière.

Toni a écrit:Gwen, voyons c'est le droit, un pays où les gens mangent les enfants, où les eleves sont soumis au prof vu comme des dieux sans failles.

Des remarques comme ça tu peux te les garder... ou tu peux t'excuser aussi c'est pas mal... ce genre d'ironie donne envie de ....

1) Oui, cher inconnu, j'ai lu. Ce n'est pas parce que je ne réponds pas à tout que je ne lis pas tout... =)

2) Toni... tu es impitoyable. =)

3) Gentil Coquelicot, je reconnais oublier souvent comme la fac est un univers plus ou moins chaotique, et où régnent les exceptions. Mais il n'y a pas de conventions dans l'UFR? Question plus ou moins réthorique, à coup sûr ces conventions seraient "adaptées" dans chacun des deux départements de notre UFR...

Vous voulez dire que le département s'est adapté aux conventions des Sciences de l'Education?

Et pour en revenir au droit... Pas de généralités messieurs, s'il vous plait... =)

Gwendoline a écrit:1) Oui, cher inconnu, j'ai lu. Ce n'est pas parce que je ne réponds pas à tout que je ne lis pas tout... =)

2) Toni... tu es impitoyable. =)

3) Gentil Coquelicot, je reconnais oublier souvent comme la fac est un univers plus ou moins chaotique, et où régnent les exceptions. Mais il n'y a pas de conventions dans l'UFR? Question plus ou moins réthorique, à coup sûr ces conventions seraient "adaptées" dans chacun des deux départements de notre UFR...

Vous voulez dire que le département s'est adapté aux conventions des Sciences de l'Education?

Et pour en revenir au droit... Pas de généralités messieurs, s'il vous plait... =)

Il n’y a aucune convention, surtout dans une même université, il faut être deux entités juridiques distinctes pour qu’il y ait convention et quel que soit le département, la seule entité c’est l’Université de Vincennes.

Il racolait, réellement, venaient dans les cours de science de l’éducation et au département, il y avait des affiches officielles pour indiquer que les inscriptions en Licence de Science Politique étaient ouvertes.
Par ailleurs, beaucoup d’étudiants, après la Maîtrise de Science Politique, allaient faire des DESS en Science de l’Éducation.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

D’autant qu’un des Enseignants titulaires de Science politique, Si cher à Monsieur Toni et aux barricadeurs, enseignait 80% de ses cours en Science de l’Éducation: le Professeur René Lourau, un des fondateurs de l’École Autogérée de Paris. L’autogestion slogan des barricadeurs.

Quant aux étudiants droit, la réalité hélas pour vous et bien loin de la réflexion. Je ne dis pas qu’ils n’ont une capacité à la réflexion, je dis qu’ils refusent de s’en servir. Ils passent leurs temps à apprendre par coeur et à répéter. Très souvent, ils ne comprennent même pas ce qu’ils répètent.

Plusieurs Enseignants de Droit n’arrêtent pas de se plaindre de cela, Mme G Koubi, Mme B Beauchesne, M. Freissex, M. Le Gloan, M. Fournales... De plus, ils s’enferment uniquement dans le droit et ne prennent que très rarement connaissance du monde extérieur.

M. Freissex un jour interrogeait une étudiante, sur le droit, elle était brillante, quand il lui demanda d’expliquer le contexte historique du Vel-d’hiv pour les juifs, c’est véridique, car raconté par lui-même, elle répondit, qu’il s’agissait d’une fête juive

Le Vel-d’hiv, c’est le Vélodrome d’Hivers où tous les juifs d’île de France furent séquestrés avant d’être déportés!

Ils sont toujours excellents en droit, mais dès le moment où un enseignant donne 2 sujets, un de Réflexion sur le droit et un commentaire d’arrêt, 80% de la salle va prendre le commentaire d’arrêt. Quant à l’oral on leur demande de répéter, ils répètent, ils sont très fort. Plusieurs des enseignants cités aux dessus font passer les oraux de l’École National de la Magistrature, de l’ENA, et disent tous que les étudiants qui ont fait Science Politique, surclassent toujours de loin en culture générale et réflexion les étudiants de droit.

Gentil Coquelicot a écrit:
Il n’y a aucune convention, surtout dans une même université, il faut être deux entités juridiques distinctes pour qu’il y ait convention et quel que soit le département, la seule entité c’est l’Université de Vincennes.

Il racolait, réellement, venaient dans les cours de science de l’éducation et au département, il y avait des affiches officielles pour indiquer que les inscriptions en Licence de Science Politique étaient ouvertes.
Par ailleurs, beaucoup d’étudiants, après la Maîtrise de Science Politique, allaient faire des DESS en Science de l’Éducation.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]

D’autant qu’un des Enseignants titulaires de Science politique, Si cher à Monsieur Toni et aux barricadeurs, enseignait 80% de ses cours en Science de l’Éducation: le Professeur René Lourau, un des fondateurs de l’École Autogérée de Paris. L’autogestion slogan des barricadeurs.

Quant aux étudiants droit, la réalité hélas pour vous et bien loin de la réflexion. Je ne dis pas qu’ils n’ont une capacité à la réflexion, je dis qu’ils refusent de s’en servir. Ils passent leurs temps à apprendre par coeur et à répéter. Très souvent, ils ne comprennent même pas ce qu’ils répètent.

Plusieurs Enseignants de Droit n’arrêtent pas de se plaindre de cela, Mme G Koubi, Mme B Beauchesne, M. Freissex, M. Le Gloan, M. Fournales... De plus, ils s’enferment uniquement dans le droit et ne prennent que très rarement connaissance du monde extérieur.

M. Freissex un jour interrogeait une étudiante, sur le droit, elle était brillante, quand il lui demanda d’expliquer le contexte historique du Vel-d’hiv pour les juifs, c’est véridique, car raconté par lui-même, elle répondit, qu’il s’agissait d’une fête juive

Le Vel-d’hiv, c’est le Vélodrome d’Hivers où tous les juifs d’île de France furent séquestrés avant d’être déportés!

Ils sont toujours excellents en droit, mais dès le moment où un enseignant donne 2 sujets, un de Réflexion sur le droit et un commentaire d’arrêt, 80% de la salle va prendre le commentaire d’arrêt. Quant à l’oral on leur demande de répéter, ils répètent, ils sont très fort. Plusieurs des enseignants cités aux dessus font passer les oraux de l’École National de la Magistrature, de l’ENA, et disent tous que les étudiants qui ont fait Science Politique, surclassent toujours de loin en culture générale et réflexion les étudiants de droit.

Pardonnez-moi, je me suis mal exprimée. Par convention j'entendais un accord informel (ou pas) entre les deux départements qui se mettraient plus ou moins d'accord sur une ligne de conduite au sein de l'UFR. Mais il est vrai que Paris 8 est une université où les structures sont mouvantes, et où il y a toujours une possibilité d'adapter un peu le systéme.

Je dois reconnaître que cette histoire de recrutement dans les Sciences de l'éducation m'a amusée... Mais qu'est ce qui intéressait les étudiants des Sciences de l'éducation en Science Politique? J'ignore quels sont leurs objets d'études, mais je m'interroge sur les liens qui existaient (et existent toujours) entre ces deux disciplines.

Les professeurs des étudiants de droits leurs repprochent d'être trop scolaires, l'on nous a parfois repproché d'être trop bavards... Je me méfie assez des repproches généralisés des enseignants. Allez répéter très réguliérement à un groupe d'étudiants qu'ils sont des idiots alors qu'ils ont plus ou moins le sentiment qu'ils vous doivent le respect, et vous serez étonnés du manque de réaction, et de l'attitude parfois résignée des étudiants. Ou bien n'est-ce que dans mon ancienne classe de terminale que ce phénoméne se faisait sentir? Il nous a fallu des mois pour se révolter contre le professeur de philo, qui pourtant était un être... Hum passons.

Pour cette histoire du Vel D'Hiv, je suis choquée et etonnée que cette étudiante n'ait pas su ce qu'historiquement cela signifiait... Mais il faudrait plutôt creuser du côté ses études antérieures: ce drame est abordé dès la 3éme (en tous cas il l'était "de mon temps" ...). C'est un cruel manque de culture générale, je ne saurais le nier... Mais je me méfie toujours des généralisations.

Ceci étant dit, le côté parfois méprisant des étudiants de droit (que j'ai pu croiser) -sauf Vio qui ne nous crache pas dessus- à l'égard des étudiants de science politique (et je me moque éperduement de savoir qui " a commencé ") m'a frappée et m'a contrariée. (Monsieur Sarkozy semble être en accord avec les étudiants que j'ai croisé, de ce point de vue là.) De fait, si je ne les porte pas spécialement dans mon coeur, je ne pense pas qu'il faille toujours leur jeter la pierre.

Et si nous sommes les meilleurs, qu'y pouvons-nous? Non, plus sérieusement, je crois que notre discipline nous pousse à être plus curieux de tout, la notion de " par coeur " étant assez peu présente dans notre département, mais très poussée en droit...

Gwendoline a écrit:Pardonnez-moi, je me suis mal exprimée. Par convention j'entendais un accord informel (ou pas) entre les deux départements qui se mettraient plus ou moins d'accord sur une ligne de conduite au sein de l'UFR. Mais il est vrai que Paris 8 est une université où les structures sont mouvantes, et où il y a toujours une possibilité d'adapter un peu le systéme.

Je dois reconnaître que cette histoire de recrutement dans les Sciences de l'éducation m'a amusée... Mais qu'est ce qui intéressait les étudiants des Sciences de l'éducation en Science Politique? J'ignore quels sont leurs objets d'études, mais je m'interroge sur les liens qui existaient (et existent toujours) entre ces deux disciplines.

Les professeurs des étudiants de droits leurs repprochent d'être trop scolaires, l'on nous a parfois repproché d'être trop bavards... Je me méfie assez des repproches généralisés des enseignants. Allez répéter très réguliérement à un groupe d'étudiants qu'ils sont des idiots alors qu'ils ont plus ou moins le sentiment qu'ils vous doivent le respect, et vous serez étonnés du manque de réaction, et de l'attitude parfois résignée des étudiants. Ou bien n'est-ce que dans mon ancienne classe de terminale que ce phénoméne se faisait sentir? Il nous a fallu des mois pour se révolter contre le professeur de philo, qui pourtant était un être... Hum passons.

Pour cette histoire du Vel D'Hiv, je suis choquée et etonnée que cette étudiante n'ait pas su ce qu'historiquement cela signifiait... Mais il faudrait plutôt creuser du côté ses études antérieures: ce drame est abordé dès la 3éme (en tous cas il l'était "de mon temps" ...). C'est un cruel manque de culture générale, je ne saurais le nier... Mais je me méfie toujours des généralisations.

Ceci étant dit, le côté parfois méprisant des étudiants de droit (que j'ai pu croiser) -sauf Vio qui ne nous crache pas dessus- à l'égard des étudiants de science politique (et je me moque éperduement de savoir qui " a commencé ") m'a frappée et m'a contrariée. (Monsieur Sarkozy semble être en accord avec les étudiants que j'ai croisé, de ce point de vue là.) De fait, si je ne les porte pas spécialement dans mon coeur, je ne pense pas qu'il faille toujours leur jeter la pierre.

Et si nous sommes les meilleurs, qu'y pouvons-nous? Non, plus sérieusement, je crois que notre discipline nous pousse à être plus curieux de tout, la notion de " par coeur " étant assez peu présente dans notre département, mais très poussée en droit...

Science de l'Education:
L’objet d’étude est la psychologie éducative, la psychanalyse, la sociologie, l’autorité, la sanction, les Institutions, la protection de l’enfance. Les personnes qui étudient en ce domaine deviennent éducatrices auprès de la Protection de l’Enfant, aide aux Handicapés, professeur des Écoles, Conseillé d’Éducation, Assistante Sociale, Chargé du développement sociale...

Ce qui a bien des égards se rapproche de la Science Politique. Je vous invite à regarder leur emploi du temps pour les licences.

Les étudiants de droits les plus sympas que j’ai rencontrés, sont les Master de Droit de la Famille, doux, très gentil, toujours souriant, ils vous proposent leurs aides, sans que vous les ayez sollicités, après c’est dans le Master que je fais, Droit Public Comparé, mais seulement du fait que la moyenne d’âge est élevée (30 ans) et que les personnes sont des salariés en formation pour la plupart.

Après en Master de droit de la Santé, l’on trouve des personnes extrêmement agréables, mais une majorité très méprisante du genre: «Nous, on va s’occuper de quelque chose de noble, on va s’occuper des pauvres, on va devenir directeur d’hôpital!» C’est un groupe principalement constitué de filles, permettez, assez attardés. Les 3 Masters Droit public Comparé, Famille et Santé, nous avons des cours communs et souvent nous sommes de cul face aux étudiantes de droit de la santé, hystériques et elles chantent en choeur des chansons de gamin de 3 à 4 ans en plein milieu d’un cours...

Les étudiants de droit les plus méprisants qui regardent les autres comme des êtres inférieures sont les étudiants en droit des affaires, du genre: «Nous on va gagner de l’argent! Bande de pauvres» et là, je peux vous dire que le Master et plein à craquer, alors que dans les autres formations, ils manquent même d'étudiants.

Mais dans les autres Masters, nous sommes aussi méprisant envers le droit des affaires, la première chose que l’on pense quand ils nous approchent, c’est: Escroc!

Il y a des tendances politiques ouvertes aux départements droit, si vous cherchez une opinion libérale de droite=Droit des affaires, une gauche sanction=droit public, une Gauche Humaniste=droit de la famille, une gauche cucul et imbue d’elle-même=droit de la santé.